CRYING LIGHTING ;; the palpatines.

your pastimes consisted of the strange, and twisted and deranged. and i love that little game you had called "crying lightings". (music) -- ft. @(emp.) sheev palpatine.

t'étais là. inspirant. expirant. le vide autour de toi, rien ne semblait pouvoir te déranger, du moins, tu essayais. désespéremment de te raccrocher à cette énergie que tu n'arrivais pas à ressentir ici même, tu essayais tant bien que mal de te manifester, qu'il sache, qu'il comprenne que tu étais là, mais que tu étais coincé. coincé dans un univers qui te semblait encore inconnus sur de nombreux coins et dont les divers mystères te laissaient sceptique. toi tu voulais le retrouver, tu ferais tout et n'importe quoi pour retourner dans ton vrai chez toi, retrouver la beauté de coruscant brillant sous les drapeaux de l'empire, loin de cet endroit aux mœurs différences et où tu semblais avoir perdue en grade.
tu te concentrais, comme tu l'avais appris lors de ton entrainement jedi, puis comme tu l'avais perfectionné avec l'art du côté obscur, mais bien vite, ton calme est perturbé par ce buzz incessant qui vole autour de toi. tu tentes de passer outre, de faire encore plus le vide autour de toi sauf que ça reste un échec, surtout quand tu sens quelque chose sur ton nez. tu ouvres les yeux, remarquant alors cette mouche qui s'était posé dessus et tu la fait dégager d'un signe de main tandis que tu lâches un long soupire d'énervement face à cette situation qui te rend folle. tu te lèves, soudainement, exaspérée, fatiguée, énervée. tes espoirs s'effondrant tandis que cette tentative semblait avoir été l'ultime, dernière chance de retrouver la seule personne qui avait une réelle importance pour ton petit cœur totalement fermé à autrui.

tu te lèves alors, précipitemment et tu t'extirpes de ce qui était ta chambre de substitution pendant ton séjour actuel. si cette petite maison sur piloti correspondait parfaitement à ta grandeur, le contexte de ta vie actuel ne te convenait pas et te faisais te sentir terriblement misérable au point où l'orage grondant en toi devenait de plus en plus violent. un ouragan prêt à tout ravager et le simple fait de ne pas pouvoir utiliser la force pour te laisser aller à tes pulsions intenses te rendait encore plus folle, comme prisonnière de ton propre corps, enfermés dans une réalité qui n'était pas tienne. Sans grande surprise, le pétage de plomb est là. tes bras balaient le contenus de cette table, le tout s'effondrant au sol tandis qu'un hurlement intense s'échappe de ta gorge. ton âme entière semble brisée tandis que la douleur d'être seule, sans repère se fait d'autant plus violente et intense. au point où de la simple force de tes bras, tu attrapes cet écran plat supposé te divertir pendant ce séjour pour finalement le jeter dans la baie vitrée donnant sur l'eau clapotante de cette île. celle-ci se brise, et tu continues de retourner la chambre, de la simple force de tes bras et de ton petit corps qui paraît si fin, si délicat mais qui n'est qu'un simple vaisseau conteneur de cette puissante rage qui te fait avancer constamment. t'es en colère, contre toi même, pour être tombée dans un piège aussi bête en cherchant de suivre cette rebelle, contre elle pour t'avoir tirée de ton trône, contre ton grand père pour ne pas t'avoir déjà secouru. une colère vaine, qui n'a pas lieu d'être car tu es la seule architecte de ton propre malheur et ce malheur, tu veux t'en sortir une bonne fois pour toute, éternellement. retrouver la seule personne qui te considère et t'aide à atteindre ton potentiel complet. les larmes, de colères, roulent sur ta peau claire tandis que tu continues de hurler à t'en briser les cordes vocales. tu recules, d'un pas, deux pas, le verre de la baie vitrée vient heurter la plante de tes pieds mais ça en est presque délicieux tellement ça permet de matérialiser ce néant que tu ressens jusqu'au plus profond de ton âme. et à force de reculer, tu te prends les pieds dans le rideau détaché par ta crise de nerf. la gravité t'attire, tandis que tu te débats pour essayer de rester debout et de dégager tes pieds enroulés autour de tes chevilles mais cette tentative est un échec. tu tombes violemment en arrière, et l'eau est la seule pour amortir ta chute, ta tête se retrouvant bien vite sous la surface. tu envisages presque pendant quelques secondes de te laisser couler, d'abandonner tout ce pour quoi tu t'es battu jusqu'à présent, mais bien vite tes pensées se recentrent. tu trouveras un moyen ou un autre de le retrouver, et il ne voudrait pas te voir abandonner.
prise d'un élan, tu balaies tes mains de manière à enfin t'extirper de cette eau et retrouver de l'oxygène. à l'instant où ton visage s'extirpe de l'eau, tes poumons se remplissent de cet air précieux et tu viens poser tes deux mains sur la surface plane en face de toi pour essayer de t'extirper de ces eaux profondes.

et enfin, tes prunelles s'ouvrent, te permettant d'observer le paysage autour de toi. et très rapidement tu te rends compte que ce n'est plus cette chambre que tu as ravagée, mais bien une villa que tu ne connais que trop bien pour être lieu de retraite favoris de celui qui domine cette galaxie aujourd'hui. t'es plus ou moins prise de court, incapable de savoir quoi dire tandis que tu patauges encore dans l'eau jusqu'à ce que tu trouves la force d'enfin te hisser sur tes deux bras et de t'extirper des eaux de coruscant. très vite, tu ne tardes pas à sentir ce pouvoir de nouveau traverser tes veines et ton être entier tandis que la connexion à la Force se fait instantanément. tes yeux se posent sur tes doigts fins, un immense sourire s'affichant sur tes lèvres tandis que tu t'élances. tes vêtements contrastent avec le style d'ici, un simple déshabillé noir accompagné d'un peignoir de soie de la même couleur que tu portes, dégoulinent sur le sol laissant cette éternelle trainée derrière toi tandis que tes pieds hurlent de douleur suite au verre qui est venu se loger dans la plante de tes pieds. mais qu'importe, tu cours, tu cours à en perdre l'oxygène, tes cheveux bruns tombant sur tes épaules.

et enfin tu arrives devant ces deux gardes vêtu de rouge, éternel pretrorien présent pour assurer la sécurité de l'empereur. ta silhouette lointaine les avait forcément interpellé mais une fois que leurs yeux voient ton visage clair ornés de tes éternelles tâches de rousseurs ils se détendent parce qu'ils comprennent, malgré eux que t'es là, que c'est toi. et plus vite que tu n'ais l'opportunité de vraiment réaliser, le message est passé tandis que tu cherches sa signature à travers cette énergie qui régit ton univers à toi. tu tardes pas à le sentir, là, il n'est pas loin, tu peux presque le sentir. tout s'enchaîne peut-être trop rapidement tandis qu'escorter de ces éternels gardes, comme si ils craignaient que tu tentes quoi que ça soit. des semaines que t'avais disparu, des semaines que tu étais loin de cet endroit, loin de ce trône qui de toute évidence, t'étais un jour destiné alors forcément que les doutes te concernant et concernant ton allégence avait traversé les esprits. tu l'sens, dans la manière que ces gardes ont de ce comporter qu'ils ne te font pas confiance, et ça t'énerve d'autant plus parce que t'avais disparu contre ton gré.
et enfin, les portes s'ouvrent sur la salle du trône tandis que tu continues de laisser derrière toi cette trainée de goûtes mélangés au sang qui s'échappe de tes pieds. ton cœur loupe un battement tandis que là, se trouve l'homme à l'origine de tout, à l'origine de ta propre personne que tu veux rendre fière plus que tout. tu pourrais presque sentir tes yeux se remplir de larmes, mais de joie cette fois, parce que t'avais réussie. t'avais réussie à accomplir ce désir à être proche de celui qui te servait de modèle ultime. – grand père. tu clâmes d'une petite voix étouffée par l'émotion tandis que tu commences à courir, malgré tes pieds douloureux pour le retrouver. et pourtant, t'es vite stopper par les deux autres gardes qui se situent proche du trône, te coupant la route de par leurs lances dans l'ultime but de t'empêcher de rejoindre l'empereur sans qu'ils sachent ce qu'il était advenu de toi pendant toute ces semaines. – laissez moi passer. tu demandes d'un ton autoritaire tandis qu'ils restent sur leurs gardes, désireux de te bloquer la route. – j'ai dis, laissez moi passer. ton ton se veux d'autant plus insistant tandis que rapidement, ça te ramène à l'époque où tu avais toi même combattu ceux-ci aux côtés de celui que tu détestais désormais de toute ton âme : kylo ren. Et alors que tu tentes un pas en avant, ils tendent leur lance vers toi, allumée et électrisée comme espérant que ça te garde en arrière.
et pourtant, ici, tu as tout. ici, tu es d'une puissance sans nom car tu es une palpatine. Ton regard hazel se pose sur l'un, puis sur l'autre tandis que ta connexion à la Force est instantanée et d'un simple mouvement de main, leur tête fait un tour à 180°. leurs corps s'effondrent au sol, et toi, tu trouves une telle satisfaction à pouvoir faire de telles actions. Ton regard se dresse enfin vers ton grand père, tandis que plus rien ne se dresse entre vous et tu lui offres un sourire qui provue que t'es si heureuse de le retrouver, pourtant tu ne peux pas t'empêcher de penser à tout ce temps que tu as passé loin de lui, seule, perdue, livrée à toi même. et cette simple pensée te fait soudainement perdre toute contenance. comme si la pression ultime était relâchée, tes jambes se dérobent sous ton poids déjà plume et tu t'effondres au sol, tombant à genoux devant lui comme pour lui montrer que malgré ton héritage il restait cet être supérieur et que tu te soumettais encore et toujours : car même si tu étais destinée à reprendre le trône, il restait l'empereur à l'heure actuelle. – excusez mon absence de ces dernières semaines. tu dis d'une petite voix désabusée, épuisée par ce combat mental pour essayer de pouvoir le retrouver. – je me suis retrouvée bloqué dans une autre dimension avec l'incapacité de revenir, mais je peux vous jurer que j'ai fait tout ce qui était en mon possible pour vous contacter, vous montrer que malgré mon absence j'étais toujours là, cherchant désespéremment à vous contacter. mais sans comprendre pourquoi ou comment, la force était imperceptible là bas. t'espérait qu'il comprendrait, et que lui ne te considèrerait pas comme une menace comme ses gardes venaient de le faire.

(c) mars.

crying lighting

@Rey Palpatine & @(Emp.) Sheev Palpatine

1 ABY — (( CORUSCANT CITY ▴ PALAIS IMPÉRIAL ))

Lorsqu’il la sent à ce moment même, c’est alors comme une décharge électrique qui vient parcourir tous ses muscles, embrasant les nerfs entiers de son vieux corps. C’est comme prendre une profonde bouffée d’air pur, dans un environnement toxique et puant. Cette énergie si familière… Palpatine en est étrangement dépendant. Lui qui n’a jamais voulu donner son cœur à quiconque. Elle est importante, plus que n’importe qui d’autre. Elle est sa lignée dorée, sa maîtrise unique de la Force obscure, sa faiblesse émotionnelle. Pour elle, Sheev ferait n’importe quoi. Sheev consentirait à bien des sacrifices et des trahisons pour se l’attacher toujours plus à ses côtés. Il la sent en lui, si près… Après tant de mois à espérer ressentir une fois encore cette précieuse harmonie dans la Force. Des mois à chercher à se dépasser, en se demandant où elle est partie. L’a-t-elle abandonnée, délibérément quittée ? Lui a-t-on fait du mal ? Est-elle encore vivante, ou morte, dans une planète quelconque ? Non… Il a eu beau sonder la galaxie entière, son empreinte a tout bonnement été effacée. Comme une coupure de courant. Jamais il ne revint. Palpatine se souvient s’être senti anormalement vide, le jour où l’empreinte de Rey, sa petite-fille, s’est évaporée dans la nature. Ce jour-là est un jour funeste, pour Sheev Palpatine. Il se souvient exactement de ce qu’il faisait, dînant avec sa resplendissante épouse, Padmé. Il se souvient même avoir lâché sa fourchette dorée à l’or fin, et d’avoir éprouvé une sensation cuisante au niveau de sa cage thoracique. Comme une déchirure. Ses nerfs ont été à vif, son sang a lentement bouillonné dans ses veines, son cœur s’est serré au point de rappeler son existence à son possesseur. Il se l’est tenu dans sa paume, presque spontanément, en cherchant à calmer le rythme lancinant de ces étranges crampes cardiaques. Elles le piquaient, elles jouaient avec lui. Elles disparaissaient pour mieux revenir, après une courte période d’accalmie. Cette sensation était douloureuse et inattendue. Sheev se souvient avoir ressenti la coupure de leur connexion comme on subirait une crise cardiaque. Elle était sa crise cardiaque. Rey était parti. Elle avait déserté la Force.

Le retour de Rey à Coruscant ne passe pas inaperçu. Palpatine l’entend arriver à des kilomètres à la ronde. La connexion dans la Force se fait presque instantanément. Comment ignorer le retour providentielle de son unique petite-fille ? La seule personne dans toute la galaxie à porter son nom, à avoir son propre sang dans ses veines, et sa détermination dans le regard ? Sheev ne voudra jamais l’admettre à quiconque, car ce n’est que faiblesse que de manifester des sentiments aussi doux que ceux qui le traversent à cet instant même, mais il est heureux et soulagé de ressentir à nouveau l’empreinte de Rey dans la Force. Rey lui a manqué. Tout chez elle lui a manqué. Rey est sa perle rare, son héritière légitime, la personne à qui il a accepté de tout donner et de tout enseigner, jusqu’au jour glorieux de la relève. Sheev sait que Rey l’attend désespérément, car tel est son destin. Le destin de tout jeune Palpatine, comme cela a été le cas de Sheev, à la mort de Cosinga Palpatine. Ce jour viendra, comme il aime le lui souffler avec une esquisse de rictus. Un sourire énigmatique. Il ne craint pas la chute de son Empire, ce dernier survivra grâce à cette chair et ce sang qui se tient dans un déshabillé noir en soie, maculé de sang, à l’entrée de sa salle du trône. « Rey. » dit-il dans un souffle rauque, proche d’être inaudible. Elle vient de répondre aux agressions de ses gardes comme il le lui a enseigné, avec puissance et cruauté, détermination et grâce. Elle est comme un oiseau miraculé tombé du ciel. Une colombe au pelage noir, et aux yeux sanglants. Sheev, emmitouflé dans sa tenue cérémoniale, un mélange de tissus en velours, se tient dans son trône. Stoïque, telle une statue de cire, se refusant à dire le moindre mot, tant l’émotion le prend de court. La crise cardiaque revient, avec la douleur lancinante qui lui transperce le cœur. Ce cœur si froid et sadique en temps normal, mais qui donne l’air de s’adoucir comme de la guimauve en la présence de son enfant-roi.

« Ma chère, ma tendre petite-fille… Ma chère Rey. » chuchote-t-il, peinant à masquer le trouble qui le saisit à cet instant. Elle est… exceptionnellement belle et forte. Encore plus qu’elle ne l’a jamais été. Toujours stoïque, il la voit s’approcher et se précipiter vers lui en courant, malgré la confusion ou les élans douloureux qu’il perçoit en elle. Rey court et s’effondre à ses pieds, elle aussi est émue, sanguinolente mais digne. Elle possède ce port-altier qui le fait négligemment sourire, non de malice, mais de sincérité. « Mon enfant, c’est inutile… de se mettre dans des états pareils. » Il ne lui en veut pas. Il ne lui en veut plus. Il comprend rapidement qu’elle ne lui ment pas, car il lit dans son esprit pour découvrir un trouble qui ne peut être simulé à quelqu’un comme lui. Rey est ravagée par les conséquences de son absence. Comme lui. Ils étaient voués à se retrouver, un jour ou l’autre, et ce jour est enfin arrivé. Le destin a frappé pour réunir les Palpatine. « Je n’ose te dire combien… ton absence m’a profondément peiné. Je me suis senti amer, ayant cru que tu avais fait un autre choix que de poursuivre mes enseignements et d’accepter mon héritage. » confesse Sheev, en venant glisser ses doigts sur les contours parfaits du visage de son héritière. Il vient les dessiner minutieusement, en voulant mémoriser chaque détail d’elle, chaque grain de peau, chaque emplacement osseux, chaque chose qui la distingue de tous les autres. Il savoure son retour à ses côtés, elle lui a cruellement et douloureusement manqué. « J’ai espéré ce jour… Je l’attendais. » reprend-il après un court silence. Il ne lui dit pas clairement qu’elle lui a manqué, mais ses insinuations ne peuvent laisser supposer le contraire. « Je me suis inquiété. » C’est tout ce qu’il admet confesser. On n’exprime pas ses sentiments aussi facilement chez les Palpatine. Son éducation stricte et froide au sein d’une très vieille aristocratie a laissé des marques, même encore maintenant. « Qui sait ce que tu aurais pu décider, privée de notre connexion… » Il a cru en l’espace de quelques temps qu’elle avait renoncé à tout ce qu’il pouvait bien lui offrir. Elle a déjà fait ce choix, par le passé. Elle a déjà rejeté ses avances. Il est naturel pour Sheev d’avoir pensé qu’elle recommencerait. Sheev lui prend alors le menton entre deux doigts, avec autorité, et paradoxalement, une certaine douceur. « Quelque chose t’a enlevé à ta maison, ma chère, mais te voilà de retour auprès de moi. Digne, fière et… aussi puissante que dans mes souvenirs. Quelques mois, Rey, ce n’est pas grand-chose dans la vie d’un homme, mais beaucoup lorsque l’on se trouve au sommet. » Un sourire paternel accompagne ses dires, ponctué d’une caresse aérienne de sa main sur le visage de l’impétueuse jeune femme. « Promets-moi que tu ne quitteras jamais plus la Force. » Par la Force, il veut dire lui. « Quoiqu’il t’en coûte. » Orgueil, quête de vengeance, lutte intestine, amour passé… Qu’importe. Elle doit demeurer à ses côtés. « Nous vengerons ces mois perdus. Je te le promets. Relève-toi, maintenant, que je puisse mieux te voir, ma fille. » ordonne l'Empereur de sa voix grave, aux aspects doux que seule son héritière, Rey, a le plaisir d'entendre chanter à ses oreilles. Elle est sa précieuse, son exception. Elle mérite toute la maigre compassion qu'il est capable d'éprouver pour ses semblables. En certains aspects, elle lui évoque sa propre mère, une femme aussi intelligente, belle que forte, malheureusement mariée à un lâche. Une mère qu'il évoque encore parfois avec une tendresse morbide dans ses propres pensées, étant donné qu'il l'a tuée avec toute sa famille dans un accès de rage, au cours de son adolescence. Une rage seule dirigée contre la personne de son père, mais qui a pris des proportions démesurées au cours d'un seul instant de vulnérabilité, que Darth Plagueis a habilement provoquée à dessein. Le priver de tous ses proches pour en faire son apprenti, une nouvelle arme dépourvue de liens émotionnels forts et de faiblesses humaines. C'est cette même arme qui a causé sa perte, bien des années plus tard.

(c) DΛNDELION

ஃ Good. I can feel your anger. I am defenseless. Take your weapon. Strike me down with all your hatred, and your journey towards the dark side will be complete. – emperor palpatine – (star wars) ஃ ┗ I LOVE ~~HATE~~ DEMOCRACY. ┛