Sasori ‹ Comme je n'aime pas attendre, je vais en finir rapidement

Tiffanie, Padawan (she)
à propos du personnage. réécriture du personnage âge. 32 ans crédits. Padawan comment nous as-tu connu ? Par Lauritz & cie toi. Qui veut se faire transformer en marionnette ?

Alors, il faut bien suivre cette histoire car c’est un beau merdier. Et je dois vous avouer que même moi, parfois je m’y perds. Donc nous allons nous plonger tous ensembles dans ce beau merdier qu’est l’histoire de Sasori du sable rouge ou des sables rouges (tout dépend de la façon dont on le voit) est un inexorable casse-couille. Et je pèse mes mots. Tout commence par un mort. Ce qui est méga joyeux mais toutes les histoires commencent ainsi. Blanche-Neige, le père meurt. Cendrillon, le père meurt. Bref, tout le monde meurt. Et Sasori ne fait pas exception. Ses parents meurent (les deux, oui) tués par Sakumo Hatake (qui est-il ? On s’en fout). Il devient donc orphelin (je vous laisse pleurer pendant deux secondes) et sera élevé par la vieille, Chiyo. Mais le gamin est devenu apathique et décide de trouver de l’affection dans la conception de marionnettes. Et aussi tordu soit-il, il décide d’en faire à l’effigie de ses parents. C’est un glauque ! Il est né avec ce don, celui de faire des marionnettes bien creepy. Il devait avoir cinq ans quand il a commencé. On pourra dire ce qu’on veut, ce mec est ultra bizarre.

Cependant, ses marionnettes n’étaient que des pantins. Elles étaient incapables de combler le vide qu’il y avait dans son cœur. Oui, vous pouvez chialer. Il finira donc par s’en lasser et les laisser à l’abandon. Il faut dire que Sasori se lasse vite des choses inutiles. La vieille les récupèrera plus tard (pour mieux s’en servir contre lui plus tard. Elle est fourbe la mémé).

A l’âge de quinze ans, et en pleine crise d’adolescence, il se décidera à rejoindre l’akatsuki (une organisation de bad guy), il fera équipe avec Orochimaru jusqu’à son départ puis avec son bff, Deidara jusqu’à sa mort (car oui, spoiler : il va mourir). Sasori étant une véritable dramaqueen, il quittera le village de Suna où il a grandi en faisant des morts et en tuant le troisième Kazekage. Et cela provoquera le véritable bordel dans le village. Il est assez fier de lui d’ailleurs.

Il deviendra par la suite un nunekin (un ninja qui déserte, il faut suivre un peu) Sasori ne fera pas les choses à moitié et se composera une armée de 298 marionnettes. Rien que ça. Allant jusqu’à réussir la prouesse de se transformer lui-même. Il a réussi à implanter son cœur dans le corps d’une marionnette et donc a cessé de vieillir. Sasori a élevé son art au-delà de toutes ses espérances mais demeurera inégalé jusqu’à ce jour. Ainsi, il est parvenu à raser un pays entier. Grâce à son talent, il est devenu le maître incontesté des marionnettes mais aussi des poisons.

Sasori étant très intelligent, il est parvenu à se constituer un puissant réseau d’espions un peu partout pour garder tout le monde à l’œil. Il arrivait à les manipuler mentalement pour qu’il puisse s’infiltrer partout. Ainsi, il pouvait s’infiltrer même dans les plus grandes organisations du pouvoir.

C’est donc avec Deidara et une partie de ses marionnettes que le fils prodigue retournera à la maison. Ils furent envoyés en mission pour récupérer Gaara, l’actuel Kazekage. Ainsi comme on l’a dit plus tôt, il avait un réseau d’espions et donc il a réussi sans mal à se débarrasser des gardes. Une vraie broutille. Cependant, comme c’est une feignasse, il décide d’attendre Deidara aux portes de la ville. Déjà il ne voulait plus remettre les pieds à Suna mais il ne pouvait pas se permettre de tomber sur la vieille. Donc, il avalait ses noix de cajou, tranquille, quand son boulet de pote a débarqué avec Kankurô qui voulait récupérer Gaara. C’est ainsi qu’il y a eu un duel entre Sasori et l’autre imbécile. Franchement, facile. Il l’a laissé pour mort et s’est cassé. Il aurait dû l’achever mais il n’avait pas le temps. Et la flemme. Puis, il l’avait empoisonné donc il était destiné à crever si cette garce de Sakura ne l’avait pas sauvé.

Mais durant le combat, Sasori a été négligent. Il s’est fait arracher un morceau d’étoffe, ce qui permettra à l’équipe Kakashi de retrouver sa trace. Une bande de boulets qui ne méritait même pas que Sasori pose ses yeux sur eux. Ils étaient en train de faire un rituel ultra compliqué avec Deidara, l’extraction du Jinchûriki et seront interrompus par Kakashi and co. Les autres prénoms n’ont aucun intérêt. Pendant que Deidara se fait la malle avec le corps poursuivi par ce bouffon de Naruto et Kakashi. De son côté Sasori est confronté à mémé et Sakura. Les deux casse-burnes. La première l’ayant « élevé » et la seconde ayant sauvé le mec qu’il avait empoisonné.

Donc faut suivre parce qu’il va se passer plusieurs choses pendant ce combat qui vont conduite à la mort de Sasori. Déjà, il va utiliser Hiruko comme marionnette qui avait une queue puissante. Et des aiguilles dans la bouche. Détruit par Sakura. Fais chier.  Il invoquera ensuite la marionnette du troisième kazekage qui tentera de tuer Sakura mais sera stoppée par la queue d’Hiruko manipulé par la vieille. Ensuite, il y aura des milliers de bras d’invoqués avec un nuage de poisons qui sera combattu par un parchemin explosif. Elle est tenace la gamine. Après ça, la vieille fera un coup bas en invoquant les marionnettes de Papa et Maman. Le combat est ardu au point que Sasori devra utiliser la limaille de fer pour paralyser les marionnettes de ses parents. Sérieux qu’on en finisse, c’est méga long. Sakura parvient à détruire le troisième avant de reconstruire. Il parviendra à empoisonner Sakura en la transperçant à l’aide de son autre corps. C’est là que mamie comprendra avec effroi que son petit-fils est désormais une marionnette. Alors qu’il s’apprêtait à transpercer la gamine avec un katana, son cœur sera finalement atteint par Papa et Maman. Il mourra une première fois dans leurs bras. On ne saura jamais pourquoi il a décidé de mourir, si ce n’est qu’il devait sans doute être blasé par la vie.

Comme il n’avait pas capturé de démons à plusieurs queues, ignorant celui qui lui était désigné. Il laissera sa place à Tobi. Qui capturera la tortue à trois queues qui était assigné à Sasori.

On aurait pu s’arrêter là, vraiment. Mais non ce n’est pas fini.

Son corps sera ensuite récupéré pour être ressuscité par l’Edo Tensei par Kankurô avec Itachi, Deidara, Kakuzu et Nagato pour convaincre Tobi de les rejoindre par la force. Bon cependant, ne faut pas rêver, il n’avait aucune considération pour les deux derniers membres de l’Akatsuki mais décidera quand même de les rejoindre sous les ordres de Kabuto dans l’équipe d’embuscade et de distraction aux côtés de Deidera, Chûkichi et Shin. Le but sera de mener un raid surprise contre l’armée de l’alliance.

Sur le chemin, comme il kiffe ça, il décide d’attaquer l’équipe de reconnaissance de Konoha et grâce à ses dons, il décidera de la mettre à l’envers à Kankuro. S’ensuit donc un combat entre les deux dont je vais vous passer les détails. Si ce n’est que Kankuro voulut se servir de la marionnette de l’ancien corps de Sasori en disant qu’il l’avait surpassé, ce qui n’impressionna pas le marionnettiste. Rien à foutre. Après tout, il est parvenu à obtenir un corps immortel grâce à l'Edo Tensei. Donc pourquoi s’embarrasser d’une marionnette.

Il se décida à utiliser Shin comme marionnette. Mais Kankuro et Saï parvinrent presque à les enfermer. C’est à cet instant que Sasori décide de s’échapper en passant par une porte. Elle était juste là, à faire la porte. Il vint atterrir dans un monde assez étrange avec Shin comme marionnette et une ribambelle de poisons dans ses poches. Il ne comprenait pas trop ce qu’il faisait là mais ça lui plaisait assez. Les gens avaient des bouts de bois pour lancer leurs sorts, ce qui était ridicule. Et donc il s’installa dans le village en périphérie où il récupérait les nombreux corps pour en faire ses marionnettes. D’un côté, il commençait à manquer de poisons mais ne savait pas où s’approvisionner, ne comprenant rien à ce qu’il se passait. Donc, il décida de faire une chose pour laquelle il est doué.
C’est-à-dire picoler.