Lauritz // J'ai même bu à outrances toute l'absinthe de tes potes.

Maelyss, Pandi (Elle).
à propos du personnage. inventé âge. 25 ans. crédits. poesiescendrees comment nous as-tu connu ? go voir sur Heimdall. toi.            

La famille parfaite, qui n’est aucunement parfait. Pourquoi le serait-elle ? Lauritz voit le jour dans une famille pourtant aimant au premier abord, avec un peu trop de penchant pour la perfection. Autant dire, que son père se montre plus conciliant là-dessus. Naissance compliquée, autant dire que sa mère, aurait aimé avoir un enfant en un seul morceau et ne pas apprendre quelques jours plus tard. Aveugle, et ce n’est aucunement dû à un mauvais sort, ou à une malédiction que l’on aurait jeté à la jeune femme. Nikolaj n’est aucunement dérangé, contrairement à sa femme ou encore, sa famille qui se montre plus que réticent à cette imperfection qui domine chez le bébé. Grandissant dans un seul amour, sa mère finit par le rejeter alors qu’il n’a que trois ans. Gamin qui ne cherche que l’amour de sa mère, se retrouve maintenant rejeter par celle-ci.

Son lien finit par se construire principalement avec son père, lien fort, puissant, des histoires racontées ici et là, surtout que son fils, commencer actuellement certains rêves prémonitoires, ce qui est perturbant, il ne comprend pas ce genre de rêve, les choses qu'il voit, les couleurs dont il ne sait pas le nom de celles-ci, il ne comprend pas, il est perdu. Mais son père finit par lui expliquer ce que c'est, quand son fils lui raconte un rêve, qui se passe quelques jours plus tard. Il racontait sans cesse à son fils, que sa famille, descendait de völur, et elles-mêmes descendant des Nornes de la mythologie nordique. Légende ou réalité ? Autant dire, que Lauritz est en train d’y croire, mais il ne saurait jamais, étant donné qu’il finit par être comme renié par ses grands-parents paternels. Vie sinistre quand on a uniquement sept ans, un rêve, un cauchemar, il prend peur, à chaque fois qu’il sort avec ses parents. La boule au ventre du haut de sa petite taille. Autant dire, qu’il se dit, naïvement, que ce n’était qu’un mauvais rêve pour une fois. Même si, malheureusement un an plus tard, alors qu’il est chez les Rowle, pour être gardé par sa tante, il apprend le décès de ses parents. Il se souvient ainsi de son rêve d'il y a un an. Ce don, il commence à le détester. Il ne sert à rien, il est inutile selon lui et frustrant.

Des humains, un vol qui a mal tourné. Des humains un peu trop penchés sur la tentation de volé une famille, sont à l’origine de la disparition de ses parents, ce qui provoque, dans le cœur de cet enfant de seulement huit ans, une certaine haine contre les humains. Autant dire, qu’en grandissant, il allait vite trouver sa place quelque part.

Les Rowle, sa nouvelle famille. Si son oncle ne montre rien niveau sentiment, sa tante rattrape ce que sa mère ne lui a pas donné. Tante bien-aimée, maman toujours rêvée. Car sa mère biologique est devenue son épouvantard, à cause de la misère qu’elle lui faisait. Attachement, figure maternelle, son oncle devient la figure paternelle, même si elle est à des années-lumière d’être identique à celle de Nikolaj. Mais il leur doit tout.

Poudlard le voilà, onze ans de passé, Poudlard pointe son nez. Sa baguette devient alors sa « canne », sa manière pour se diriger pour de bons, pour se déplacer ici et là, de pouvoir suivre les cours, apprendre sans avoir de retard. Il devient la fierté de sa tante, tout en étant bien dans ses bottes et s’entendant bien avec ses cousins. Mais est-ce qu’il reste sage comme une image ? Notre cher serpentard ? Non, non. Lauritz devient le genre d’élève qui ne se laisse pas faire, enfreindre des règles à répétition, des duels ici et là, il faisait même partie d’un club de duel après tout. Des balades dans la forêt interdite, des mauvais sorts de jeter pour se moquer, ou les chutes à répétitions dans les escaliers, car il a loupé une marche. Poudlard, des années de bêtises, de mauvaises choses et de découverte. C’est durant sa septième année, qu’il découvre alors son attirance envers les hommes, son amour pour un gryffondor et découverte du rejet et de l’insulte, autant dire, qu’il a fait en sorte, que ce gryffondor ne se souvienne de rien et ne puisse rien raconter de ce qu’il s’est tout simplement passé.

Autant dire, qu’une fois l’école finit, il s’engage rapidement dans un travail. Il ne veut pas rester enfermé dans le domicile familial, car être aveugle est problématique. Son ouïe, son odorat et le touché sont devenus ses plus grandes forces, sans oublier sa baguette qui l’aide beaucoup. Mais autant dire, qu’il sait reconnaître des ingrédients de potion uniquement avec le touché, il était déjà doué à l’école, autant dire, qu’il se lance dans une boutique de potioniste, en tant qu’assistant. L’année des vingt ans, il rejoint les mangemorts.

Voilà deux ans, qu’il les a rejoints les mangemorts, deux ans qu’il fait en sorte de se montrer digne et de pouvoir, un jour avoir sa marque. Et il sait comment l’avoir : en retrouvant les assassins de ses parents, dans l’espoir de venger son père..

Mais quand il passe une porte magique, mystérieuse sans s'en rendre compte, il finit en avril 1891. Perdu au début, il finit par comprendre où il est, l'époque le perturbe et en prime, il doit s'adapter. Pré-au-lard est devenu son lieu de vie et de travail de nouveau.