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Ven 5 Jan - 4:10
(Dr.) Klaus Fischer
• he just wanted to make the world a better place •
IRL ▴ infosCôté Coeur :
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BETWEEN BETRAYAL AND LOVE; ⌟ ▪▫▪
—⥼ ※ ⥽—
Pseudo : Spicy Pumpkin
Pronoms IRL : Elle • She • Her
Faceclaim : Boyd Holbrook
Crédits : spicy pumpkin (avatar) • ilovewhiteroses, breedaboyd (gifs)
Disponibilité : — 0 / ∞ —
Warnings : Importante différence d'âge dans une relation amoureuse ✯ Suprémacisme ✯ Guerre ✯ Expérimentation scientifique sur des êtres humains ✯ Aryanisme ✯ Régime nazi ✯ Convictions totalitaires ✯ Zombies ✯ Violence ✯ Sexualité explicite ✯ Homosexualité refoulée ✯ Chantage ✯ Sadisme ✯ Actes de violence physique, mentale et sexuelle ✯ BDSM ✯ Cruauté ✯ Torture ✯ Séquestration ✯ Kidnapping
Dollars : 549
Occupation : Scientifique allemand, physicien, chef de l'équipe scientifique en recherche énergétique, assistant attitré et élève du docteur Straub, membre de l'Ahnenerbe, — la cellule secrète mystique pro-aryenne —, membre — à regret — du NSDAP.
Quartier : Au petit village de Mittelburg, en Bavière, dans l'Allemagne nazie.
Localisation : Dans son monde, bien sûr. En pleine apocalypse zombie.
Race : Humain
Âge RP : 30 ans.
Pronoms RP : Il · He · Him
Origines : Call of Duty : World War II ✮ Jeu vidéo
Citation : ❝ You did not heed my warnings! YOU DID NOT LISTEN! ❞ ─ Klaus Fisher.
Objectifs : Arrêter Straub et ses abominations. Gagner cette guerre. Devenir un grand et renommé scientifique, dans le but de faire la fierté d'un pays qu'il chérit tant.
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❛ Sometimes I feel I've got to run away. I've got to get away from the pain you drive into the heart of me. The love we share seems to go nowhere, and I've lost my light. For I toss and turn, I can't sleep at night. Once I ran to you, now I run from you. This tainted love you've given. I give you all a boy could give you. Take my tears and that's not nearly all. Now I know I've got to run away. I've got to get away. You don't really want any more from me, to make things right you need someone to hold you tight and you think love is to pray, but I'm sorry, I don't pray that way. Once I ran to you. Now I run from you, this tainted love you've given. I give you all a boy could give you. Take my tears and that's not nearly all. Don't touch me, please. I cannot stand the way you tease. I love you though you hurt me so. Now I'm gonna pack my things and go. - TAINTED LOVE ▴ SOFT CELL. ❜
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(( INTRIGUE DES VOEUX DE NOËL )) 1944. APPARTEMENT DU DR. PETER STRAUB. BERLIN. ALLEMAGNE NAZIE.
TW : MENTIONS DU RÉGIME NAZI, D'IDÉOLOGIE EXTRÉMISTE - DE RACISME - D’ANTISÉMITISME ET DE XÉNOPHOBIE, SEXUALITÉ EXPLICITE, DIFFÉRENCE D'ÂGE IMPORTANTE, EMPRISE PSYCHOLOGIQUE, TRAUMATISMES D'ENFANCE, COMPLEXE D'ABANDON, DADDY KINK, OBSESSION AMOUREUSE, FANATISME RELIGIEUX, HOMOSEXUALITÉ REFOULÉE, HOMOPHOBIE, INSTABILITÉ ÉMOTIONNELLE, BDSM, TORTURE PORN, HUMILIATION.Noël a toujours été la période de l’année qu’il préférait au monde, depuis tout petit déjà. Klaus Fischer aime Noël. Il est ce que l’on appelle un amoureux transi de ce fameux esprit de Noël. Un esprit qui ne s’est pas évaporé malgré la guerre, puisque même dans le petit village bavarois de Mittelburg, l’on fête Noël. Il est constamment entouré de ces créatures maléfiques qui n’obéissent qu’au doigt et à l’œil de Peter Straub, mais l’esprit de Noël souffle également dans les rues obscures. Les zombies de Straub, constamment vêtus d’uniformes militaires de la Wehrmacht ou de la SS, sont exceptionnellement déguisés avec des bonnets rouge et blanc. Des zombies nazis de Noël. Des Pères Noël assoiffés de sang, aux couleurs de la mort et de la désolation. Fischer aime les comparer à des lutins démoniaques rôdant autour de Straub et des installations nazies comme l’ombre de Peter Pan. Noël a une saveur très… sanglante cette année. Fischer ignore pourtant à quel point ce Noël s’apprête à bouleverser sa vie entière. Fischer ne se souvient plus exactement de ces derniers jours. Tout ce dont il se rappelle, c’est d’avoir quitté le laboratoire de Straub sur l’île d’Heligoland pour retourner travailler sur l’énergie Geiskraft et les améliorations du fusil Tesla à Mittelburg. Il ignore que Straub a en réalité fait un vœu de Noël pour lui. Pour eux deux. Un vent de magie flotte sur l’Allemagne en cette veille de Noël. Straub en a profité pour forcer le comportement de Fischer. Straub veut à tout prix qu’il cède à tous ses fantasmes, tous ses caprices. Si Klaus avait été dans son état normal, jamais il n’aurait imaginé un seul instant se rendre dans l’appartement de Straub situé à Berlin en grimpant dans un train pour retrouver le scientifique. C’est pourtant ce qu’il a fait. Il a embarqué, fébrile, et impatient de retrouver Straub dans la capitale allemande. Il l’a fait après que Straub lui ait envoyé un télégramme de la plus haute importance. Berlin l’attend. Straub a quelque chose à lui montrer. Fischer, incapable de dire non au scientifique, s’est donc précipité jusqu’au chic quartier où vit Straub. C’est une Mercedes noire affublée de mini drapeau nazis qui l’a conduit jusqu’au grand et vieil immeuble. Son taxi l’attendait à la sortie de la gare de Berlin.
Fischer, vêtu d’un costume cravate gris anthracite et d’une mallette en cuir, se met à descendre de la Mercedes pour se diriger en face de la rue bordée d’arbres et d’immeubles à l’architecture princière. Les beaux quartiers de la capitale font pétiller ses yeux. Il a grandi en province, loin de toute cette richesse. Contrairement à ce qu’il croyait en raison des rapports provenant du haut commandement allemand et des nombreux télégrammes du parti, Berlin est loin d’être une ville en ruines. Berlin est en réalité resplendissante de prestige, de beauté et de propreté. Une ville puissante, habitée par des Allemands sereins, confiants en la fin de la guerre. Il n’en croit pas ses yeux. Même les titres des journaux de presse qu’il distingue au loin, depuis les très vieux kiosques, semblent indiquer sur la victoire Allemande est proche. Fischer hallucine. Il croyait qu’ils étaient en difficulté sur le champ de bataille. Il croyait que les hordes de zombies seraient finalement dressés contre leurs créateurs et envahissaient Berlin et toute sa périphérie. C’est un miracle. Un miracle de Noël. Tous les vœux de Straub se réalisent, et en partie feus de Fischer, qui n’a toujours voulu qu’une seule chose : la victoire de l’Allemagne. Il lui faut un moment pour cesser de s’émerveiller devant ce Berlin réunifié et conquérant pour retrouver le chemin de la rue. Ayant les clés dans la main droite, Fischer pénètre dans le hall d’immeuble sans difficulté, et se laisse guider jusqu’à l’ascenseur supposé le conduire à l’étage où se trouve l’appartement de Peter Straub. Il marche d’un pas lourd mais confiant. Une fois devant la porte, Fischer inspire une profonde bouffée d’air, afin de se donner un peu de courage. Il tape trois coups, avec le dos de sa main. Il attend. Il attend très longtemps. Lorsqu’enfin, la porte de l’appartement s’ouvre sur le docteur Straub, élégamment habillé dans un costume cravate presque taillé sur mesure, son souffle s’accélère. « Bonsoir, docteur Straub. J’ai reçu votre télégramme. J’espère ne pas être en retard. » Il lui adresse un sourire plein de charme. « Puis-je entrer ? J’arrive pour l’heure du souper. Votre télégramme me semblait d'une urgence capitale. Alors me voilà. J'ai fait au plus vite depuis la Bavière. » Fischer attend poliment que Straub se décale sur sa droite pour pénétrer dans la tanière du loup. Il ignore ce qui l’attend. Quoiqu’il en soit, Klaus Fischer est incapable de répondre par la négative à toutes les sollicitations de Peter Straub. La magie guide ses pas et ses pensées, en faisant de lui un pauvre pantin entre les mains sadiques d’un masochiste aux penchants homosexuels. « Votre décoration d’intérieur est très charmante. Je l’aurais crie plus… stérile. Comme votre laboratoire. Je ne pensais pas que vous vous encombreriez de tous ces bibelots. » commente Fischer une fois dans le salon. Straub a très bon goût. Cet appartement est luxueusement décoré, et le mobilier semble clairement désigné avec un soin tout particulier. Mais la plus belle des pièces se trouve encore ailleurs… (LA CHAMBRE ROUGE DE PETER STRAUB DANS LE REMAKE DE CINQUANTE NUANCES DE GREY)
(c) DΛNDELION
Ven 5 Jan - 14:06
(Dr.) Peter Straub
IRL ▴ infosPseudo : Oly
Pronoms IRL : Il. He. Him.
Faceclaim : Mads Mikkelsen
Crédits : Ma perfection (Spicy)
Disponibilité : Disponible !
Warnings : Guerre | Expérimentation scientifique | Régime nazi | Zombies | Violence | Sexuamité explicite
Triggers : Vos limites sont les miennes.
Dollars : 506
Occupation : Scientifique (fou) de génie
Localisation : The Final Reich
Race : Humain
Âge RP : 52 ans
Pronoms RP : Il. He. Him
Origines : Call of Duty | WWII
Citation : A brilliant doctor who rose through the ranks of the Nazi party due to his creative and merciless dedication to making the German army an unstoppable power.
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(( INTRIGUE DES VOEUX DE NOËL )) 1944. APPARTEMENT DU DR. PETER STRAUB. BERLIN. ALLEMAGNE NAZIE.
TW : MENTIONS DU RÉGIME NAZI, D'IDÉOLOGIE EXTRÉMISTE - DE RACISME - D’ANTISÉMITISME ET DE XÉNOPHOBIE, SEXUALITÉ EXPLICITE, DIFFÉRENCE D'ÂGE IMPORTANTE, EMPRISE PSYCHOLOGIQUE, TRAUMATISMES D'ENFANCE, COMPLEXE D'ABANDON, DADDY KINK, OBSESSION AMOUREUSE, FANATISME RELIGIEUX, HOMOSEXUALITÉ REFOULÉE, HOMOPHOBIE, INSTABILITÉ ÉMOTIONNELLE, BDSM, TORTURE PORN, HUMILIATION.Peter Straub ne croit pas en la magie ni au surnaturel. A voir ses précieux zombies hanter son sillage, on pourrait s’imaginer autre chose, mais Straub trouve à leur existence une explication scientifique… il le sait d’autant mieux qu’il est à l’origine de leur existence, après tout. Leur présence répond à une compréhension concrète de la situation. Ce n’est pas une lubie de conte de fées… Contrairement à ces vœux qui se réaliseraient sous le seul prétexte qu’on leur aurait espérés très fort ou encore qu’on aurait eu le bon ton de les formuler au bon moment. Non, Peter Straub n’a pas fait sciemment le vœu d’attirer Klaus Fischer dans ses filets avec le seul espoir que le demander ardemment suffirait à obtenir gain de cause… Mais la pensée de son jeune assistant parasite quotidiennement le moindre de ses faits et gestes. Straub est obsédé par la présence, l’aura et le charisme de ce jeune homme qui feint ignorer ses très nombreux appels du pied. Peter Straub le veut, il le veut viscéralement, au-delà de la raison et des soupçons qu’il fait peser sur les motivations de son jeune assistant. D’une façon ou d’une autre, il l’aura, il se l’est promis… Et cette magie de Noël en laquelle il ne croit pas pourrait bien, à ce titre, lui donner un sérieux coup de main.
Straub a été enchanté de voir Klaus accepter si naturellement et sans détour son invitation à se rendre dans son appartement situé au cœur de Berlin. L’origine de ce revirement ? Il ne le soupçonne pas véritablement… Le besoin d’endormir sa méfiance, peut-être ? Qu’importe… l’essentiel est qu’il se présente au rendez-vous. Peter s’est fait une promesse, une promesse qu’il compte bien tenir : Klaus Fischer ne quittera pas son appartement sans être passé à la casserole (autant dire les choses crument). Straub a été plus que patient, et il est convaincu que la réserve affichée de Klaus dissimule son trouble véritable. Il croit dans la réciprocité de leur attirance, et il entend bien le prouver… à sa manière bien à lui.
Straub s’est mis sur son trente-et-un. Il tient à faire la meilleure impression possible. Il tient surtout à s’assurer que Fischer sera bien incapable de détourner le regard de lui, obnubilé par sa carrure, élégamment mise en valeur par son costume trois pièces d’un noir corbeau. Il l’attend, dans son impressionnant logement du cœur de Berlin, sans réaliser l’aberration de cette situation. Dans son esprit, un interrupteur semble s’être allumé et un autre éteint. Il croit que l’Allemagne est sur le point d’emporter la victoire, il croit dans le fait que les paysages sereins d’un Berlin réunifiés sont tout ce à quoi il fallait s’attendre… Il ne fait plus vraiment la différence entre la réalité et le rêve… Tout se mélange, et tout, dans son esprit pourtant pragmatique, paraît trouver un sens logique. De même que rien ne lui semble plus logique que de trouver Klaus sur son palier, à qui il ouvre en grand, avec un immense sourire aux lèvres.
« Klaus. Entre donc, tu arrives pile à l’heure. » Il sourit. « Je nous ai fait préparer un véritable festin, j’espère que tu n’as pas eu le temps de dîner », suggère-t-il, très familier, avant de débarrasser Klaus de sa veste sans lui laisser le temps de réagir ou de dire quoi que ce soit. « Je devais en effet vous voir pour une affaire qui ne pouvait attendre. Ou plutôt, dirais-je, pour une affaire qui a déjà trop attendu », affirme Straub d’un ton particulièrement suggestif. Cette nuit plus que les autres, il choisit de se montrer incisif. Si les sous-entendus ne doivent pas suffire, alors soit, il passera à la vitesse supérieure. « Je suis un homme de goût, Klaus », réplique Straub d’un ton amusé alors que son interlocuteur remarque qu’il aurait cru son intérieur plus sobre. Ce n’est pas le cas. C’est même tout l’inverse. Son intérieur est plutôt chargé, et pour cause, Peter Straub est un collectionneur… Et il choisit avec soin son intérieur. « Et plein de surprises », il ajoute en l’entraînant dans le salon. L’instant d’après, il s’affaire à leur servir deux verres de whisky bien tassés. Il tend alors son verre à Klaus, en l’oubliant surtout pas de le regarder dans le blanc des yeux. Il veut le déstabiliser, il veut lire autant de nervosité que de désir dans ce regard qu’il pénètre du sien sans la moindre concession, sans offrir le moindre échappatoire à ce jeune homme aussi séduisant que brillant. « A cette nuit », propose-t-il de trinquer en faisant tinter son verre contre celui de son vis-à-vis. « Préfères-tu dîner d’abord ou que je te fasse faire le tour du propriétaire ? »
Il brûle d’impatience de lui faire découvrir le moindre recoin de ses appartements. Et une pièce en particulier.
(c) DΛNDELION
Dim 7 Jan - 3:34
(Dr.) Klaus Fischer
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(( INTRIGUE DES VOEUX DE NOËL )) 1944. APPARTEMENT DU DR. PETER STRAUB. BERLIN. ALLEMAGNE NAZIE.
TW : MENTIONS DU RÉGIME NAZI, D'IDÉOLOGIE EXTRÉMISTE - DE RACISME - D’ANTISÉMITISME ET DE XÉNOPHOBIE, SEXUALITÉ EXPLICITE, DIFFÉRENCE D'ÂGE IMPORTANTE, EMPRISE PSYCHOLOGIQUE, TRAUMATISMES D'ENFANCE, COMPLEXE D'ABANDON, DADDY KINK, OBSESSION AMOUREUSE, FANATISME RELIGIEUX, HOMOSEXUALITÉ REFOULÉE, HOMOPHOBIE, INSTABILITÉ ÉMOTIONNELLE, BDSM, TORTURE PORN, HUMILIATION.Est-ce qu’il aurait dû se méfier avant de passer le pas de cette porte d’appartement guindé ? Peut-être. Sûrement, même. Contrairement à ce qu’il croit, l’esprit de Peter Straub n’est pas seulement imprégné des pensées chastes d’un mentor à l’esprit, quoique Klaus puisse espérer obtenir de sa part. Un mentorat. Une sorte de relation tirant ses fondement dans la thèse du père de substitution. Un père spirituel, c’est-ce qu’est Straub pour lui. Un père qui lui apprend la science, avec lequel il partage ses travaux et l’avancée de ses recherches sur l’énergie Geistkraft. Straub incarne à la fois la rigueur allemande et l’excellence intellectuelle du génie, sans compter le charisme indéniable qui fait partie de sa personne. Klaus est bien souvent, si ce n’est tout le temps, déstabilisé par la beauté de Straub. Une beauté contre laquelle le pauvre jeune scientifique lutte de toutes ses forces. Un homme ne doit pas trouver un autre homme attirant. C’est péché. C’est d’ailleurs passible d’un séjour avec un aller simple pour le camp de concentration le plus proche. Klaus refuse de périr avec ses fantasmes. Il ignore qu’il va vivre une expérience inédite en compagnie de Straub, qui le bouleversera à tout jamais et qui remettra en cause toutes ses croyances. Ce soir est le fameux soir où le jeune Fischer passera à la casserole. Qu’il le veuille ou non. Mais il le voudra, car la magie de Noël l’a rendue aussi docile qu’un agneau, prêt à exaucer tous les fantasmes de Straub sans réfléchir un seul instant à leurs conséquences.
Straub l’accueille si chaleureusement. Il en est émoustillé. Straub est de plus extrêmement séduisant dans son costume trois pièces noir corbeau. Straub le rassure en l’informant qu’il est arrivé pile à l’heure. Fischer acquiesce d’un hochement de tête. Son ventre émet au même moment un bref grognement qui atteste ses propos. « Je n’en ai pas eu le temps, en effet. » l’informe-t-il au sujet du dîner. « J’ai pris le premier train depuis la Bavière. Je n’ai pas eu le temps d’avaler quoique ce soit, et j’avais également espoir que vous auriez… prévu quelque chose. » Il a l’impression de ne pas se reconnaître. Confesser avoir espéré que Straub ait préparé un dîner pour deux est une insulte à toutes ses croyances, mais Klaus ne sait pas résister à la tentation que le vieux scientifique représente. La magie de Noël, – cette obscure magie – lui fait acquiescer à tous les caprices et désirs de Peter Straub. Si Peter Straub veut que Klaus Fischer pénètre dans son humble demeure en ayant le ventre vide, il en sera fait selon ses convoitises. Il dira amen à tout sans discuter. Y compris aux choses sur lesquelles Klaus a toujours mis un point d’honneur à éviter en présence du scientifique. Straub évoque la probabilité de conclure une affaire laissée en suspens… Klaus se crispe. C’est tout ce dont il a horreur. Ces satanés sous-entendus scabreux, ces désirs homosexuels. Klaus comprend depuis longtemps les intentions du docteur Straub, mais il refuse de leur accorder le moindre crédit. Pourquoi ne pas tout simplement l’insulter ou mettre des mots sur le comportement indécent de Straub ? Peut-être qu’en lui balançant ses quatre vérités, Straub cessera ? Non… Non. Klaus y a maintes fois pensé, mais il s’y refuse. Il a maintes fois imaginé les télégrammes qu’il aurait pu envoyer aux supérieurs de Straub à Berlin. Il a maintes fois imaginé ses discussions avec Straub. Il respecte suffisamment Straub et son travail pour ne pas lui en tenir rigueur ou dénoncer sa perversité, bien que celle-ci soit condamnable. Il n’en a jamais rien fait. Parce que quelque part… cela lui plaît bien plus qu’il n’accepte de l’admettre. L’attirance que Straub lui voue l’excite au-delà du raisonnable. Il adore être l’objet de ses obsessions, de ses fascinations tordues. Il ne le dira jamais, bien entendu. Ce sera son secret. Son plus honteux secret.
« Une affaire qui a déjà trop attendu vous dites ? Je me demande de quelle affaire vous voulez parler… Il me semblait que nous en avions terminé avec le projet zombie. » Klaus ment, l’air distrait. Il laisse Straub lui enlever sa veste, sans rien dire. Il se laisse ensuite conduire jusqu’au petit salon. Straub est un collectionneur d’arts. « C’est-ce que je peux constater… » dit-il, comme pour changer de sujet. C’est magnifiquement décoré chez lui. « Je n’ai jamais osé douter du fait que vous soyez plein de surprises. » Klaus lui adresse un sourire complice. « Vous m’avez déjà tant appris. » Plus qu’il ne l’aurait jamais imaginé. Straub lui sert ensuite un verre de whisky bien tassé qu’il prend religieusement. Ils trinquent. D’un coup sec. Straub trinque à cette nuit. Klaus acquiesce docilement, bien que l’expression de son visage soit grimaçante. Il réalise avec effroi dans quel pétrin il vient de se fourrer. Klaus est impressionné, pudique et aussi apeuré qu’une biche fragile devant un chasseur expérimenté. Que faire ? Si jamais Straub tente quoique ce soit comme la dernière fois dans son laboratoire… Il se trouve chez lui, dans la tanière du loup. Pourra-t-il le repousser comme il l’avait déjà fait ? Straub ne le quitte pas un seul instant des yeux. Klaus, intimidé, s’efforce de soutenir ce regard dur, mais l’intensité des prunelles ambre du père des zombies a bien vite raison du bleu aqueux des orbes de son plus jeune collaborateur. « Merci, docteur Straub. Merci pour tout ce que vous faites encore pour moi. » chuchote-t-il avec un léger tremblement dans la voix. Il boit une première gorgée. Straub reprend ensuite, guidant la conversation en hôte respectable et avisé. Il lui propose de faire un tour du propriétaire. Klaus, bien qu’affamé, consent. « J’aimerais beaucoup que vous me fassiez visiter votre appartement, docteur Straub. J’imagine qu’il doit être aussi propre que votre laboratoire. » dit-il en voulant le faire sourire. Rire, pourquoi pas. Décoincer Straub est la mission de toute une vie.
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Mer 24 Jan - 15:43
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(( INTRIGUE DES VOEUX DE NOËL )) 1944. APPARTEMENT DU DR. PETER STRAUB. BERLIN. ALLEMAGNE NAZIE.
TW : MENTIONS DU RÉGIME NAZI, D'IDÉOLOGIE EXTRÉMISTE - DE RACISME - D’ANTISÉMITISME ET DE XÉNOPHOBIE, SEXUALITÉ EXPLICITE, DIFFÉRENCE D'ÂGE IMPORTANTE, EMPRISE PSYCHOLOGIQUE, TRAUMATISMES D'ENFANCE, COMPLEXE D'ABANDON, DADDY KINK, OBSESSION AMOUREUSE, FANATISME RELIGIEUX, HOMOSEXUALITÉ REFOULÉE, HOMOPHOBIE, INSTABILITÉ ÉMOTIONNELLE, BDSM, TORTURE PORN, HUMILIATION.« J’ai prévu en effet de quoi… soulager ton appétit », répond Straub d’un ton qui ne se prive d’aucune sorte de sous-entendu quand Fischer reconnaît ne pas avoir eu le temps de manger et avoir espéré qu’il avait prévu quelque chose. En effet, Straub a prévu de nombreuses choses pour son assistant, mais en l’occurrence… S’ils ressortiront de cette soirée parfaitement repus, c’est, sans l’ombre d’un doute, Fischer qui passera à la casserole. « … et le mien », complète-t-il d’un ton égal, comme si la chose était véritablement nécessaire.
Il ne fera pas dans la dentelle, ce soir. Ce soir, il compte obtenir ce qu’il a toujours convoité, et il n’a plus guère l’intention d’attendre… surtout pas. Straub obtiendra tout de la part de Klaus… la dévotion, la tendresse, la passion, la sensualité, l’affection… tout. Cette affaire qui n’a que trop attendue se résoudra cette nuit… et après cette nuit, plus rien ne sera plus jamais pareil.
« Il ne s’agit pas du projet zombie », répond Straub tout aussi distraitement que son interlocuteur, quand ce dernier joue les naïfs, probablement pour ne pas se confronter directement à cette situation et à toutes ses implications. Mais Straub tient Klaus pour moins naïf qu’il n’en donne l’air. Il a probablement très bien compris. Il a tout compris. Il sait qu’il est un homme plein de surprises, et qu’il n’est pas au bout de ces dernières, alors que s’ouvre pour eux un tout nouveau chapitre, dont il est destiné à ne devenir nul autre que le protagoniste principal. « Ce soir, il ne sera pas question de travail. »
Straub prend plaisir à constater qu’un sourire sincère et complice a étiré les lèvres de Klaus. Il est beau quand il sourit. Il semble si souvent sérieux, ou défiant, sur ses gardes constamment.. quand il sourit si sincèrement, il le trouve plus beau que jamais. Et à l’idée d’être à l’origine même de cette liesse, de cette complicité merveilleuse, il ne sait être autre chose qu’heureux.
« Je peux t’apprendre encore tant d’autres choses », répond Straub sans rien dissimuler de ce que ses propos sous-entendent de sensuel, aussi sensuel que le ton de sa voix. Oui, cette nuit, il lui enseignera tout. Toutes ces choses de l’amour qu’il s’est toujours refusé sous le prétexte que la chose serait indigne… indigne de lui-même. Sous le prétexte qu’il serait au-dessus de ces considérations, entravé par des préceptes et une morale qui étouffaient ses désirs les plus profond, qui n’étaient jamais que la révélation la plus pure et la plus absolue de sa véritable nature, de son « lui » le plus abouti. « Je ne t’ai jamais rien offert que tu n’aies mérité d’obtenir, Klaus », répond Straub avec un sourire sincère, affectueux et indulgent. Tout ce qu’il sait être en présence de cet homme, quand il sait être bien plus souvent un homme froid, sévère, calculateur, fou et violent. « J’ai en toi une foi inestimable. Je sais que tu es voué à l’exceptionnel. Je ne m’embarrasserai pas de telles intentions si tu n’en était pas digne. » Il l’observe avec la plus grande intensité, avant de boire une nouvelle gorgée de son verre. « Toi, Klaus… tu es unique. »
Il le dit pour le séduire, c’est évident. Mais il le dit également parce qu’il le pense. Il le pense véritablement. Personne d’autre au monde ne mériterait tant d’attention et de patience de sa part, au point même que Straub serait bien capable de lui accorder une deuxième chance tout d’abord, puis une troisième. Puis une quatrième. Oui, Klaus Fischer est unique en son genre. Un homme hors du commun, et qui mérite qu’on l’aide à révéler son plein potentiel. La gratitude de Klaus est une mélodie merveilleuse à son oreille.
« Je suis quelqu’un de très ordonné en effet… Mais je pense que mon… sens de la rigueur ne devrait pas te déplaire », il ajoute avec une lueur dans le regard qui peut prêter à de nombreuses interprétations, mais dont une en particulier se distingue à coup sûr de la masse. « Suis-moi », ajoute-t-il d’une voix si basse qu’elle ressemblerait presque à un souffle, un murmure chaud et rauque.
Ni une ni deux, il entraîne Straub à travers les différentes pièces de sa somptueuse demeure : son bureau, son salon, sa chambre… il lui offre de découvrir chacune des pièces de son appartement, même les plus intimes… jusqu’à s’arrêter finalement devant une porte différente des autres. Une porte peinte en rouge.
« Avant d’entrer dans cette pièce, je dois probablement te mettre en garde », dit-il d’un ton léger, le regard brûlant. « Cette pièce renferme mes secrets les plus intimes, je ne l’ouvre pas au premier venu. Mais toi… Toi, Klaus, tu es différent. »
(c) DΛNDELION
Sam 30 Mar - 3:30
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Pronoms IRL : Elle • She • Her
Faceclaim : Boyd Holbrook
Crédits : spicy pumpkin (avatar) • ilovewhiteroses, breedaboyd (gifs)
Disponibilité : — 0 / ∞ —
Warnings : Importante différence d'âge dans une relation amoureuse ✯ Suprémacisme ✯ Guerre ✯ Expérimentation scientifique sur des êtres humains ✯ Aryanisme ✯ Régime nazi ✯ Convictions totalitaires ✯ Zombies ✯ Violence ✯ Sexualité explicite ✯ Homosexualité refoulée ✯ Chantage ✯ Sadisme ✯ Actes de violence physique, mentale et sexuelle ✯ BDSM ✯ Cruauté ✯ Torture ✯ Séquestration ✯ Kidnapping
Dollars : 549
Occupation : Scientifique allemand, physicien, chef de l'équipe scientifique en recherche énergétique, assistant attitré et élève du docteur Straub, membre de l'Ahnenerbe, — la cellule secrète mystique pro-aryenne —, membre — à regret — du NSDAP.
Quartier : Au petit village de Mittelburg, en Bavière, dans l'Allemagne nazie.
Localisation : Dans son monde, bien sûr. En pleine apocalypse zombie.
Race : Humain
Âge RP : 30 ans.
Pronoms RP : Il · He · Him
Origines : Call of Duty : World War II ✮ Jeu vidéo
Citation : ❝ You did not heed my warnings! YOU DID NOT LISTEN! ❞ ─ Klaus Fisher.
Objectifs : Arrêter Straub et ses abominations. Gagner cette guerre. Devenir un grand et renommé scientifique, dans le but de faire la fierté d'un pays qu'il chérit tant.
Gif :
Gif 2 :
Multicomptes :
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BETWEEN BETRAYAL AND LOVE; ⌟ ▪▫▪
❛ Sometimes I feel I've got to run away. I've got to get away from the pain you drive into the heart of me. The love we share seems to go nowhere, and I've lost my light. For I toss and turn, I can't sleep at night. Once I ran to you, now I run from you. This tainted love you've given. I give you all a boy could give you. Take my tears and that's not nearly all. Now I know I've got to run away. I've got to get away. You don't really want any more from me, to make things right you need someone to hold you tight and you think love is to pray, but I'm sorry, I don't pray that way. Once I ran to you. Now I run from you, this tainted love you've given. I give you all a boy could give you. Take my tears and that's not nearly all. Don't touch me, please. I cannot stand the way you tease. I love you though you hurt me so. Now I'm gonna pack my things and go. - TAINTED LOVE ▴ SOFT CELL. ❜
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love wasn't
made for us
made for us
(( INTRIGUE DES VOEUX DE NOËL )) 1944. APPARTEMENT DU DR. PETER STRAUB. BERLIN. ALLEMAGNE NAZIE.
TW : MENTIONS DU RÉGIME NAZI, D'IDÉOLOGIE EXTRÉMISTE - DE RACISME - D’ANTISÉMITISME ET DE XÉNOPHOBIE, SEXUALITÉ EXPLICITE, DIFFÉRENCE D'ÂGE IMPORTANTE, EMPRISE PSYCHOLOGIQUE, TRAUMATISMES D'ENFANCE, COMPLEXE D'ABANDON, DADDY KINK, OBSESSION AMOUREUSE, FANATISME RELIGIEUX, HOMOSEXUALITÉ REFOULÉE, HOMOPHOBIE, INSTABILITÉ ÉMOTIONNELLE, BDSM, TORTURE PORN, HUMILIATION.Fischer ignore pourquoi, mais les sous-entendus de Straub le mettent de moins en moins mal à l’aise. Quelques jours avant, le jeune homme aurait très certainement voulu prendre ses jambes à son cou, mais pas aujourd’hui. Straub l’attire comme un aimant. Fischer se sent comme un papillon devant une flamme crépitante de toute beauté. Chacun de ses sous-entendus appelle en lui une envie folle de s’y abandonner corps et âme. « J’ai très faim. » confirme-t-il, le pli de ses lèvres s’étirant alors en un sourire des plus charmeurs. Il comprend le sous-entendu du vieux professeur et entend le lui faire signifier avec délicatesse. « Je pense que nous partageons la même faim, docteur Straub. » ajoute-t-il pour entrer à son tour dans le jeu de séduction de son éminent employeur. Une magie sordide lui ouvre tous ses chakras, et au lieu de s’offusquer de l’éventualité de plaire à son supérieur, Klaus ne peut que s’en réjouir comme un gigolo. « Pas de travail ce soir, doc ? » Il s’en étonne sincèrement. Straub est si sérieux en temps normal. « Vos envies sont des ordres. » Ce n’est pas pour l’en déplaire. Lui non plus ne compte pas discuter projet zombie ou travail quelconque ce soir. Il est fatigué de parler du travail. Klaus éprouve l’envie étrange et euphorisante de laisser tomber les masques, de s’éclater une bonne fois pour toutes. Il le suit sans un mot dans l’immense appartement berlinois, attentif aux détails de la décoration intérieure qu’il observe discrètement sous toutes les coutures à chaque pas.
« J’ai bien conscience de ce que vous m’avez offert depuis toutes ces années, docteur… J’ignorais à quel point vous m’estimiez jusqu’à maintenant. » Klaus est touché et incapable de dissimuler le vif émoi qui s’empare de ses joues pâles pour les colorer d’un rose léger. « Apprenez-moi toutes ces choses. » lui dit-il enfin après un temps de pause. « Je crève d’apprendre, pour me hisser enfin à votre niveau de génie. » Beaucoup considéreraient ces mots comme une tentative excentrique de faire un peu de zèle auprès de son employeur, mais Klaus n’est pas quelqu’un d’aussi obséquieux. Il pense chacun de ses mots. Il admire le docteur Straub à un point dangereusement fanatique, tout en ayant conscience de la folie qui anime ce dernier. Une folie qu’il doit entraver à tout prix, d’où sa collaborations avec les services secrets américains. « Je suis unique ? » répète-t-il, en manquant de s’étrangler avec le contenu de son verre d’alcool fort. Ça le touche. Immensément. Straub le fait à dessein et Klaus tombe droit dans le piège. Pour sa défense, la magie de Noël a emporté tous ses beaux principes de résistance. « En quoi le suis-je, par rapport à tous vos assistants ? » Cette fois, c’est à la pêche aux compliments que Klaus va. Il se met à ricaner nerveusement. Straub lui fait découvrir toutes les pièces de sa luxueuse demeure. Klaus pousse des exclamations de stupeur et d’admiration à chacune des fameuses pièces. « J’ai grandi à la campagne… J’ai fait mes études à Heidelberg, mais c’était une petite ville… » commente Fischer, afin de souligner à quel point il est admiratif de l’appartement de son boss.
Straub glisse un lent murmure chaud et rauque dans son oreille, afin de l’encourager à le suivre jusqu’à une dernière pièce, — plus secrète et probablement indécente connaissant les penchants sadiques du docteur Straub. Il a su se montrer silencieux, bien qu’anxieux au moment de découvrir toutes les pièces du luxueux appartement, — y compris la chambre de Straub. Une chambre dans laquelle Klaus s’est senti anormalement troublé, et profondément attiré. Klaus avait eu terriblement envie de se mettre à ouvrir tous les tiroirs des placards et de la table de chevet, de goûter la douceur des draps de soie qui recouvraient le grand lit, comme d’enfiler l’un des pyjamas du scientifique spécialisé en génétique. (la magie de Noël le rend maniac in love) Mais cette visite fut malheureusement de courte durée, car Straub semblait avoir des plans plus spécifiques à l’esprit… Klaus s’attend à tout. Lorsque Straub s’arrêta face à une porte peinte en rouge, son souffle se mit à s’accélérer. Il termina alors d’une traite son verre pour se donner un peu de courage, et surtout ne pas se décomposer devant son patron. Le regard brûlant que ce dernier lui adresse déferle en lui des orteils à la racine de ses beaux cheveux blonds. « Vous me faites cet honneur parce que… je suis unique, c’est ça, docteur ? » Klaus retient sa salive. « Je ne sais quoi dire. J’ai très envie… d’être cette exception. » Il veut découvrir tous les secrets de Straub. Il veut entrer dans cette pièce étrange, et comprendre ce qui met tant en émoi le docteur. « Qu’est-ce qu’elle cache, hein ? » Klaus tente un sourire pour détendre l’atmosphère. « Vous y entreposez d’autres zombies ? » rajoute-t-il, plein d’ironie et une fausse confiance en lui, alors que tout au fond de lui, Klaus est comme un enfant terrorisé devant son professeur.
(c) DΛNDELION
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